Revoir le paysage
Après un essor considérable (des pré-impressionnistes aux fauvistes) la peinture de paysage est aujourd’hui tombée en désuétude, abandonnée aux peintres amateurs. La démocratisation de la photo, puis du smartphone, en est en grande partie responsable.
Je peins des bouts de nature flous, comme noyés dans une sorte de brouillard. Un monde qui s’efface en raison de l’urbanisation, des regroupements en agglomérations,… symbolisés par des cartes, des plans, des zones industrielles.
Je peins des fragments de paysages apparemment idylliques mais menacés.